RAPPORTS DU KORRIG'AME SUR LES FUITES DE TEMPS.

Album de près de 800 pages - Richard Ruffel - 2003








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Des Ors Mai (extrait de l'album)



Mai de pollen
à perdre haleine...

J'avais vingt et un ans
et les filles en corolles
étaient vif-argent

comme la parole
qui courait sur les murs,
les files, les attroupements

vif agent de renseignement,
silex choqué des idées,
des possibilités
encore jamais imaginées
mais déjà confrontées

visions en fusion
coulées dans des moules à cire
perdue
uniques, originales, originelles
s'ébrouant à contre-argent.

Et vogue la volière...
Nous poussions à la mer
les cages de nos enfances
pour que se noient nos chagrins,
nos destins trop étroits

dans un monde de classes
sans vasistas...

Nous divaguions
sur des bateaux ivres
de courbes de révolution.


Ni huttes, ni remises (extrait de l'album)





Changer le monde, changer la vie ... (Extrait de l'album)



L'un et le Noue (Extrait de l'album)

SCULPTURES

quelques sculptures


Sculptures domestiques


Maquettes pour sculptures monumentales

QUELQUES PEINTURES

Rétrospective



Enfermement

Longues peines



Privations sensorielles


Oeuvres diverses

Quelques gravures



Quelques encres



Papiers découpés, collages



Livres-objets



Logos

Albums

Série de trois albums de dessins en bande - publiés en 1992

Y'a pas de Malte !



Gaza de choc



Attention Tanger



68 Den

LE BONHEUR DES AMERS par Richard RUFFEL


par RICHARD RUFFEL, ouvrier "maoïste" établi dans l'usine.



INVENTAIRE
p.1 Une vie militante parmi tellement d'autres

p. 4 Autour de Mai 68: le début de la ligne claire

p. 9 Février-avril 1972, Nantes: une grève de six semaines avec occupation particulièrement représentative de l'après 68 , chez PARIS-SA

p. 120 1978-1979,Vénissieux : une lutte farouche mais vaine contre un plan de licenciement collectif à la SNAV

p. 167 Souvenirs en miette des conditions ouvrières

p. 198 Interlude : quelques années de militantisme culturel en milieu rural

p. 200 La politique autrement, offensives associatives.

p. 279 Epilogue.



I - Une vie militante parmi tellement d'autres



Ce qui va suivre ne constitue en aucune manière une autobiographie, des "Mémoires" ou plus simplement encore un irrépressible épanchement du narcissisme.
Je n'ai jamais tenu de journal mêlant faits relevant de la sphère privée, notation d'émotions intimes, réflexions personnelles avec un agenda militant, une chronique politique…
Je n'ai pas l'intention de raconter ma vie privée (chargée de joies, Christiane, mes enfants, mais aussi de galères…). Par ailleurs, je ne veux pas faire le récit de ma traversée d'organisations politiques (où j'ai beaucoup appris, connu des personnalités extraordinaires tout particulièrement à Nantes, vécu des crises intenses…) parce que je considère aujourd'hui que ces formes sont historiquement périmées et que les mouvements sociaux devront en inventer de nouvelles, très différentes. Ce faisant, bon nombre de mobilisations auxquelles j'ai participé avec enthousiasme ( Larzac, Malville… ) ne seront même pas évoquées.
Si j'entreprends ce retour sur "mon" histoire, c'est principalement pour combattre, à mon échelle microscopique, les nombreuses raisons de se replier sur soi, de ne pas s'engager dans la vie citoyenne qui amènent les "générations MitterandChiracJospin" à ne plus rêver d'un monde meilleur, de ne plus essayer de "changer la vie".
C'est pour affirmer que la lutte n'est pas triste et qu'une vie habitée par des combats divers et multiples est possible, enthousiasmante, riche de rencontres extraordinaires, de moments intenses partagés, et qu'il n'y a aucune raison de considérer que ça peut être amusant un temps mais que cela n'engage pas pour la vie ("il faut que jeunesse se passe", "c'est normal de jeter sa gourme avant de passer aux choses sérieuses"…).
La seule chose sérieuse et jouissive en même temps, c'est la participation au mouvement d'émancipation de l'humanité. Emancipation de nos réflexes reptiliens, égoïstes, sauvages. Emancipation des systèmes sociaux répartissant les individus entre dominants et dominés, exploiteurs et exploités…
C'est la voie lumineuse du sens de l'existence, celle qui transcende la vie individuelle en la fondant dans celle des peuples, en l'incorporant dans la spirale ascendante de l'humanité vers l'épanouissement de toutes ses capacités, vers la légèreté de l'être.
Au regard de cela, le terme "militant" paraît bien barbare, entaché de sa proximité avec le terme "militaire" qui génère des visions de violence, de hiérarchie, d'abandon de l'autonomie personnelle, de la liberté de penser par soimême … La glorification par Lénine du "militant professionnel" ne fait que renforcer cette image négative. Il faudra donc inventer un mot plus poétique pour désigner cette façon quotidienne d'être en rébellion positive contre tous les asservissements sécrétés jusqu'à ce jour par les systèmes sociaux dominants.








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II - Février-avril 1972, Nantes: une grève de six semaines avec occupation particulièrement représentative de l'après 68 , chez PARIS-SA






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III - 1978-1979,Vénissieux : une lutte farouche mais vaine contre un plan de licenciement collectif à la SNAV




Dix ans après 68, la crise "INDUSTRIELLE", les prémices de la "MONDIALISATION", le début d'une vingtaine d'année de désemparement du mouvement social


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IV - Souvenirs en miette des conditions ouvrieres



Pourquoi des souvenirs épars ?
Parce que, près de 25 ans plus tard, il ne me reste que des bribes de mémoire, un
kaléidoscope d'images, un bric à brac de scènes, de situations, d'ambiances, d'odeurs, de visages, d'émotions que je ne peux plus relier entre elles, insérer dans une chronologie, situer sur une échelle de valeur allant de l'anecdotique au caractéristique… Il aurait fallu que, comme Robert Linhart auteur de L'Etabli, livre "juste" sur l'usine, je tienne un journal quotidien, mais je n'ai eu ni le temps ni le goût, tout au long de ma vie militante de noter mes impressions quotidiennes.
Parce que je ne suis pas un écrivain et que je n'ai pas les qualités intellectuelles et stylistiques pour faire dévaler en un flot tumultueux mais canaliser ces paillettes aurifères qui ont enrichi mon existence.
Mais alors, pourquoi invoquer ces fantômes, évoquer ces souvenirs ?
Parce que ces torrents de vie qui coulaient entre les murs des usines, cachés par lestoits de tôle ondulée, les hauts murs de briques ou de parpaing, des portails massifs, se sont beaucoup amenuisés et n'ont plus la même couleur et la même chaleur qu'à cette époque-là.
Et si je regrette d'être tellement impuissant à rendre compte de cette réalité en voie dedisparition, il me semble au moins nécessaire de tenter de conserver les détails que j'ai pu en retenir.
Ceci d'autant plus que, malgré l'existence d'un grand nombre d'intellectuels ouvriers,et, plus étonnant encore, d'étudiants, de lycéens brillants en fin d'études en 1968, "établis" en usine, rares sont ceux qui ont tenté de transcrire cet univers.
Donc, en vrac, voilà "mon" wagonnet de souvenirs épars.




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Ecrits sur les formes d’organisation et de transformation sociale

Publication Mille Bâbords
Richard Ruffel
Contre le principe hiérarchique

De même que l'utilisation du téléphone ou de la télévision, de l'avion ou de
l'automobile, de l'eau potable ou de l'électricité nous paraissent totalement naturels, les
différents types de rapports sociaux fondés sur le mode hiérarchique nous semblent tout autant
et tout aussi faussement immuables, universels, intemporels.
Les rapports individuels (de couple ou autre), de travail, d'organisation sociale, internationaux
ne pourraient se produire et reproduire que sur le mode /modèle de la domination et du
fameux système pyramidal, qui du haut de cinquante siècles au moins nous contemplerait et
nous contraindrait.
Il serait donc naturel que les formes de gouvernance des affaires communes (la politique) se
conforme à cette loi de nature, hiérarchique, et que les partis politiques censés représenter les
intérêts des membres d'une communauté sociétale obéissent à cette règle commune.
* Première objection, il est avéré anthropologiquement que certaines sociétés ont
réussi et réussissent encore à fonctionner de toute autre manière.
* Seconde objection, l'Homo Sapiens n'obéit pas (ou en tout cas pas totalement) aux
"lois de nature". Il n'a cessé d'inventer, expérimenter des systèmes plus que contradictoires
d'explication du monde (de l'animisme au monothéisme, de l'astrologie à la science …), de
constructions artistiques (de l'hyperréalisme au surréalisme, du classicisme au baroque, du
constructivisme à l'abstraction informelle…), de rapports sociaux (endogamie/exogamie,
matriarcat/patriarcat…), de division du travail (artisanat/taylorisme, intégration ou
désintégration des parts intellectuelle et manuelle dans le processus de production…), et bien
sûr d'organisation des sociétés (de la démocratie grecque reposant sur la pratique de
l'esclavage jusqu'aux tyrannies dites socialistes en passant par les systèmes de caste, les
pouvoirs clientélistes…).
L'homme est l'auteur de conceptions mentales qui ne paraissent éternelles et
inchangeables que pour nos courtes mémoires. Le "sens commun n'existe que pour un temps
et une aire spatiale donnée.
Les vraies révolutions sont celles qui rompent avec les dogmes prétendument
intangibles ici ou là, hier ou aujourd'hui.
Il est patent (pas tant que ça, mais quand même) que les systèmes hiérarchiques sont
hégémoniques actuellement partout et dans tous les domaines.
Cela ne veut pas dire qu'ils sont inchangeables.
C'est lors des situations de crise que les humains inventent de nouvelles solutions afin
d'assurer leur survie. Ce n'est par exemple qu'en raison de l'épuisement des ressources
énergétiques fossiles que l'on commence à investir dans les énergies renouvelables (éoliennes,
solaires…) ou inédites (fusion thermonucléaire…).

Or politiquement le monde est à nouveau en crise, peutêtre
encore plus profondément qu'à la
fin du XIX° et durant la première moitié du XX° où des expériences (avortées hélas ! ) de
renversement de la domination entrepreneuriale/féodale (URSS, Chine, Cuba…) ou coloniale
(VietNam,
Algérie…) ont été tentées.
La crise actuelle (aube du XXI°) englobe les caractéristiques de celles du
siècle précédent mais y ajoute de nouvelles données :
le
caractère mondial de la domination : depuis la seconde guerre mondiale les maîtres
de l'économie ont érigé des instruments de renforcement de leur pouvoir à l'échelle
internationale (accords de Bretton Woods, création du FMI, de la Banque Mondiale, de
l'OMC, de sousstructures
continentales comme l'ALENA, le Marché Commun…).
l'internationalisation
du Capital : par le biais notamment des Bourses, les maîtres de
l'économie, possesseurs des principales "multinationales", agissent en transfrontières,
déplacent capitaux et entreprises au gré des cours du marché, des coûts de main d'oeuvre et
d'infrastructures…, et accessoirement démontrent le caractère archaïque des structures
politiques nationales.
Les
détenteurs du Capital, imbus de leur toute puissance ont porté un coup fatal à la
démocratie représentative.
Que ce soit en imposant leurs vues aux représentants politiques (à quelque échelon que ce
soit, de la commune jusqu'au G7/G8), à découvert (Cf. le lobby nucléaire ou celui de l'eau par
exemple), ou par le biais de la corruption (Cf. les entreprises de travaux publics), ou en
transgressant allègrement les lois ou règlements édictés par les Parlements ou
Gouvernements, les détenteurs du pouvoir économique ont discrédité tout le personnel
politique ("achetés", "vendus", "incapables"…), ont démontré que les responsables politiques
n'étaient au mieux que leurs hommes de paille, un paravent translucide posé devant leurs
manoeuvres de moins en moins occultes, ne disposant d'aucun reste de pouvoir, hormis les
fonctions régaliennes de maintien de l'ordre (police, armée, mais même plus la justice, en
tous cas en France).

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Eloge de l'horizontalité
Publication Mille Bâbords
Richard Ruffel, avril 2002

Quel type de société voulons-nous ?
Une société de héros ou une société d'égaux ?

Nous nageons actuellement dans un monde d’illusions où l’on pousse le culte des idoles
au rabais (financières comme Bill Gates ou Jean-Marie Messier, médiatiques comme
Loana ou Steeve fabriqués dans un « loft » ; politiques comme Chirojospin ou
BenLaBush...), où l’on célèbre les joies de la concurrence (Vivendi Universal contre
Napster, émissions du genre « le maillon faible » ou « Kolontah », l’Occident contre le
reste du monde, Elf contre les « petits juges » des brigades financières, les « grands partis »
détourneurs de fonds contre les « petits candidats »...), la « réussite » plutôt que le labeur
nécessaire à la survie matérielle du monde...

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CONTRE LE PRINCIPE HIERARCHIQUE.

Publication Mille Bâbords
Richard Ruffel

De même que l'utilisation du téléphone ou de la télévision, de l'avion ou de
l'automobile, de l'eau potable ou de l'électricité nous paraissent totalement naturels, les
différents types de rapports sociaux fondés sur le mode hiérarchique nous semblent tout autant
et tout aussi faussement immuables, universels, intemporels.
Les rapports individuels (de couple ou autre), de travail, d'organisation sociale, internationaux
ne pourraient se produire et reproduire que sur le mode /modèle de la domination et du
fameux système pyramidal, qui du haut de cinquante siècles au moins nous contemplerait et
nous contraindrait.
Il serait donc naturel que les formes de gouvernance des affaires communes (la politique) se
conforme à cette loi de nature, hiérarchique, et que les partis politiques censés représenter les
intérêts des membres d'une communauté sociétale obéissent à cette règle commune.
* Première objection, il est avéré anthropologiquement que certaines sociétés ont
réussi et réussissent encore à fonctionner de toute autre manière.
* Seconde objection, l'Homo Sapiens n'obéit pas (ou en tout cas pas totalement) aux
"lois de nature". Il n'a cessé d'inventer, expérimenter des systèmes plus que contradictoires
d'explication du monde (de l'animisme au monothéisme, de l'astrologie à la science …), de
constructions artistiques (de l'hyperréalisme au surréalisme, du classicisme au baroque, du
constructivisme à l'abstraction informelle…), de rapports sociaux (endogamie/exogamie,
matriarcat/patriarcat…), de division du travail (artisanat/taylorisme, intégration ou
désintégration des parts intellectuelle et manuelle dans le processus de production…), et bien
sûr d'organisation des sociétés (de la démocratie grecque reposant sur la pratique de
l'esclavage jusqu'aux tyrannies dites socialistes en passant par les systèmes de caste, les
pouvoirs clientélistes…).
L'homme est l'auteur de conceptions mentales qui ne paraissent éternelles et
inchangeables que pour nos courtes mémoires. Le "sens commun n'existe que pour un temps
et une aire spatiale donnée.
Les vraies révolutions sont celles qui rompent avec les dogmes prétendument
intangibles ici ou là, hier ou aujourd'hui.
Il est patent (pas tant que ça, mais quand même) que les systèmes hiérarchiques sont
hégémoniques actuellement partout et dans tous les domaines.
Cela ne veut pas dire qu'ils sont inchangeables.
C'est lors des situations de crise que les humains inventent de nouvelles solutions afin
d'assurer leur survie. Ce n'est par exemple qu'en raison de l'épuisement des ressources
énergétiques fossiles que l'on commence à investir dans les énergies renouvelables (éoliennes,
solaires…) ou inédites (fusion thermonucléaire…).

Or politiquement le monde est à nouveau en crise, peutêtre
encore plus profondément qu'à la
fin du XIX° et durant la première moitié du XX° où des expériences (avortées hélas ! ) de
renversement de la domination entrepreneuriale/féodale (URSS, Chine, Cuba…) ou coloniale
(VietNam,
Algérie…) ont été tentées.
La crise actuelle (aube du XXI°) englobe les caractéristiques de celles du
siècle précédent mais y ajoute de nouvelles données :
le
caractère mondial de la domination : depuis la seconde guerre mondiale les maîtres
de l'économie ont érigé des instruments de renforcement de leur pouvoir à l'échelle
internationale (accords de Bretton Woods, création du FMI, de la Banque Mondiale, de
l'OMC, de sousstructures
continentales comme l'ALENA, le Marché Commun…).
l'internationalisation
du Capital : par le biais notamment des Bourses, les maîtres de
l'économie, possesseurs des principales "multinationales", agissent en transfrontières,
déplacent capitaux et entreprises au gré des cours du marché, des coûts de main d'oeuvre et
d'infrastructures…, et accessoirement démontrent le caractère archaïque des structures
politiques nationales.
Les
détenteurs du Capital, imbus de leur toute puissance ont porté un coup fatal à la
démocratie représentative.
Que ce soit en imposant leurs vues aux représentants politiques (à quelque échelon que ce
soit, de la commune jusqu'au G7/G8), à découvert (Cf. le lobby nucléaire ou celui de l'eau par
exemple), ou par le biais de la corruption (Cf. les entreprises de travaux publics), ou en
transgressant allègrement les lois ou règlements édictés par les Parlements ou
Gouvernements, les détenteurs du pouvoir économique ont discrédité tout le personnel
politique ("achetés", "vendus", "incapables"…), ont démontré que les responsables politiques
n'étaient au mieux que leurs hommes de paille, un paravent translucide posé devant leurs
manoeuvres de moins en moins occultes, ne disposant d'aucun reste de pouvoir, hormis les
fonctions régaliennes de maintien de l'ordre (police, armée, mais même plus la justice, en
tous cas en France).

Contre le principe hierarchique

ELOGE DE L'HORIZONTALITE

Publication Mille Bâbords
Richard Ruffel, avril 2002

Quel type de société voulons-nous ?
Une société de héros ou une société d'égaux ?

Nous nageons actuellement dans un monde d’illusions où l’on pousse le culte des idoles
au rabais (financières comme Bill Gates ou Jean-Marie Messier, médiatiques comme
Loana ou Steeve fabriqués dans un « loft » ; politiques comme Chirojospin ou
BenLaBush...), où l’on célèbre les joies de la concurrence (Vivendi Universal contre
Napster, émissions du genre « le maillon faible » ou « Kolontah », l’Occident contre le
reste du monde, Elf contre les « petits juges » des brigades financières, les « grands partis »
détourneurs de fonds contre les « petits candidats »...), la « réussite » plutôt que le labeur
nécessaire à la survie matérielle du monde...

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Pour RESF

Manifestation UCIG 19 janvier 2008

68 DEN